

Alors que des doses de vaccin d’AstraZeneca n’ont pas trouvé preneurs dans des centres de vaccinations du Nord et du Pas-de-Calais, lors du week-end de Pâques, en raison de la peur d’effets secondaires, le gouvernement affiche sa volonté d’accélérer la campagne de vaccination. Mardi 6 avril, le vaccinodrome du Stade de France (Seine-Saint-Denis) accueille ses premiers volontaires, avec un premier objectif de 10 000 injections par semaine. Les hôpitaux d’instruction des armées français prévoient également d’augmenter leurs capacités d’accueil pour vacciner jusqu’à 50 000 personnes par semaine.
Dimanche, près de 9 300 000 Français avaient reçu une première dose (soit près de 14 % d’entre eux), dont plus de 40 000 en vingt-quatre heures. Une vaccination que le gouvernement souhaite accélérer : le coordinateur de la campagne, Alain Fischer, a annoncé à la fin de la semaine un objectif de 400 000 injections quotidiennes. Plus de 3 millions de personnes ont, elles, reçu une seconde dose du vaccin, soit près de 5 % de la population.
Qui alimente ce live ?
Nos journalistes Louise Couvelaire, Sandra Favier et Yan Gauchard sont sur le terrain, couvrant respectivement le vaccinodrome installé dans le Stade de France (Seine-Saint-Denis), les pharmacies et les centres de vaccination parisiens, ainsi que le centre-ville de Nantes (Loire-Atlantique). Laura Motet transmet les dernières informations.
Entre 14 h 30 à 15 h 30, Delphine Roucaute, journaliste au pôle santé du Monde, répondra à vos questions concernant la stratégie du gouvernement.
Pour aller plus loin :

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